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Moto GP - Italie, Mugello
 
Rossi : le coup du chapeau
 

Et 1 et 2 et 3 zéro!

On le disait moribond en 2007. Convalescent au Qatar, le voilà maintenant resplendissant et plus fort que jamais après "son" Grand Prix du Mugello.

Valentino Rossi est maintenant en position de force dans le Championnat 2008. Il a proprement assomé ses principaux adversaires qui se sont aussi éliminés eux-mêmes.

 
Valentino Rossi conserve la Tête du général du Moto GP
 

Stoner dernier en France sur ennui mécanique et Lorenzo abandon au Mugello sur chute. La course par élimination se poursuit.

Pour l'instant un seul résiste encore et toujours au Dottore : Dani Pedrosa, le pilote Honda du HRC! Le petit espagnol n'est pas brillant mais il est régulier. Cela ne vous rappelle rien???

 
46 bonnes raisons de faire la fête au Mugello
 

Encore une fois c'est Pedrosa qui réussira le hole shot... Si je ne connaissais déjà le résultat de Catalunya à l'heure où je rédige ces lignes (pour cause de vacances virolesques... lol) je dirai qu'il faudra se méfier de l'espagnol en Catalogne!

 
Pedrosa devant et les autres derrière
 

Rossi, en confiance, est idéalement placé en 4ème place... c'est à dire en 3ème après quelques centaines de mètres de course. Pedrosa, Stoner et Rossi sont déjà roue dans roue!

 
la bande des 3 face à la meute
 

Ce que l'on avait déjà remarqué en Chine est en passe de se confirmer! A savoir une domination majeure de 3 ou 4 pilotes sur la majorité des autres!

 
Stoner, Rossi, Pedrosa... et les autres
 

En ce début de course l'outsider se nomme Capirossi. Chez lui en Italie Capirex a à coeur de faire briller les couleurs de sa Suzuki.

 
beau début de GP pour Capirossi
 

Rossi ne mettra pas longtemps à dépasser un Pedrosa peu téméraire. Il récidivera peu après aux dépends de Stoner et prendra inexorablement le large.

 
Rossi a doublé Stoner, personne ne lui montrera plus sa roue avant
 
A ce moment là rien n'est encore joué mais on sent bien que Il Dottore a le circuit bien dans l'oeil et même si le groupe des 3 ou 4 (Capi décroche peu à peu) reste globalement compact, personne ne semble en mesure de montrer sa roue avant à Rossi!
 
Rossi a des yeux partout!
 
mi course
power....
 

Revenosn sur terre, c'est le cas de le dire avec la triste image que celle de Randy De Puniet encore sur le bitume entraînant avec lui un Marco Melandri qui n'avait pas besoin de ça!

 
Randy à terre et Melandri obligé de tirer dans les graviers
 

Derrière Lorenzo refait le coup du GP de France en remontant les pilotes un à un... Mais n'est pas Rossi qui veut et le petit espagnol est en surrégime et il ne tardera pas à chuter à son tour. La course par élimination des 4 cadors se poursuit!

 
Lorenzo trop gourmand sur cet extérieur...
 
Idem pour John Hopkins qui s'en va manger du gravier. Rien ne va plus décidément chez Kawasaki. D'autant pus que West se bat pour la dernière place avec la Okada, le wild card de 41 ans, de l'équipe Honda Repsol qui teste le moteur à soupapes pneumatiques!
 
Okada (41 ans wild card, pilote essayeur) devant West : tout un symbole
 
A cet instant la surprise du chef s'appelle De Angelis. Le San Marinai aligne les très bons tours les uns derrière les autres. Remontant jusqu'à la 4ème place. Coup d'éclat devant son public ou réelle performance... la course le dira.
 
De Angelis en état de grace chez lui
 

Toseland et Edwards, les compères de l'équipe Tech3 ne se quittent pas d'une roue et figurent honorablement entre la 5ème et la 10ème place

 
Toseland et Edwards : je te tiens tu me tiens...
 

Pendant ce temps Rossi prend le large. Profitant en plus de l'arsouille que se livrent Stoner et Pedrosa. Une courbe un peu large de l'australien permettant à Pedrosa de s'emparer de la seconde place!

 
Ca s'arsouille sec entre Stoner et Pedrosa
 

Derrière De Angelis un petit groupe composé de Capirossi, Toseland, Dovizioso et Edwards se tire de bonnes bourres... Toseland prenant temporairement le commandement de ce gruppetto!

 
Toseland, Edwards, Capirossi et Dovizioso
 

A force de talonner Pedrosa Stoner finit par repasser l'espagnol. La Ducati est plutôt bien sur ce circuit même si elle est loin de la Yamaha de Valentino.

 
la Ducati meilleure que la Honda en Italie
 

Yamaha par-ci, Yamaha par là. Les 2 Tech3 se sont extraites de leur petit groupe et se disputent la 5ème place. Mais dans cet excercice c'est le vétéran Edwards qui dicte sa loi au rookie Toseland. Ah l'expérience...

 
Edwards reste un sacré client!
 

Un coup devant un coup derrière Okada le vétéran wild card de chez Honda mène la vie dure au jeune West dont le sort semble scellé en Moto GP pour 2009, en tous les cas chez Kawasaki!

 
West devant Okada ouf, pourtant au final...
 

Sylvain Guintoli fait une belle course 12ème devant son coéquipier Toni Elias. Une consolation pour le français qui n'arrive pas à violenter sa Ducati comme sait si bien le faire Casey Stoner.

 
un bon résultat pour Sylvain, à confirmer
 

En fin de course les Bridgestone dictent leur loi et Stoner distance Pedrosa tout en revenant un petit peu sur Rossi. Mais l'italien correctement paneauté en remettra un petit coup histoire de se mettre à l'abri jusqu'à la fin du GP!

 
Stoner relève la tête et se maintient à distance
 

Le dernier tour s'effectue dans une ambiance de liesse à l'italienne. Les jaunes exultent dans les gradins car Rossi va encore une fois inscrire son nom au palmarès du Mugello! Remarquable 4ème De Angelis signe là sa plus belle perf' de l'année!

 
Yes c'est fait pour Valentino
 
 
les déclarations des pilotes
(extraits de l'excellente rubrique après chaque GP "ils ont dit" de Moto Station)
Valentino Rossi

Gagner au Mugello est ce que j'aime le plus, après gagner le championnat, et je vis encore un rêve aujourd'hui. C'est impossible de décrire ce qu'on ressent sur le podium ici, face à tous ces fans.

 
Rossi félicité par ses mécanos
 

Une fois en tête, j'au pu creuser l'écart, mais à la fin, c'est chaud et ça été difficile de bien rouler. Casey a tout fait pour remonter, j'ai dû maintenir mon effort jusqu'à la fin.

Je suis content d'être le pilote qui apporte à Bridgestone leur 1ère victoire sur ce circuit ; ils ont fait un bon travail, mes pneus se sont comportés de la même manière du début à la fin.

 
le tour d'honneur
 
 
Casey Stoner

La course d'aujourd'hui a été formidable. J'ai mené dès le départ mais je n'ai pas voulu forcer parce que le pneu avant met un peu de temps à être vraiment efficace. Valentino m'a doublé dans une section où je perdais trop de temps.

En essayant de revenir sur lui, j'ai un peu forcé dans le premier virage et j'ai élargi, ce qui m'a fait perdre le contact. On savait qu'avec les nouveaux réglages, la moto serait efficace en fin de course, mais malheureusement j'étais trop loin de Valentino.

Malgré tout, une seconde place est un très bon résultat et nous motive pour la Catalogne.

 
Stoner redresse la barre
 
les français
Randy De Puniet
des soucis pour Randy
 

Je suis très déçu car j'ai pris un bon départ (9ème au 1er virage), probablement le meilleur de cette saison. Mais j'ai immédiatement senti un problème avec l'arrière et la machine a commencé à glisser et à vibrer.

 
Randy doit essayer de ne plus tomber!
 
J'ai essayé de garder ma position mais c'était impossible. Au sixième tour, Vermeulen m'a touché et j'ai perdu le contrôle de ma machine. Je suis tombé et me suis fait mal à mon petit doigt gauche. Je serai quand même prêt pour Barcelone.
 
 
Sylvain Guintoli aux essais
 
Sylvain Guintoli

J’ai réussi à doubler plusieurs pilotes dans le premier virage, mais dans la courbe suivante quelqu’un m’a touché et m’a fait perdre quatre places.

J’ai alors pensé qu’il y avait un problème sur ma moto et il m’a fallu un moment pour me remettre dans le rythme.

 
Sylvain : le miel c'est bon pour le moral ...
 

Comme la température de la piste était beaucoup plus chaude qu’aux essais, j’étais également parti avec un pneu arrière plus dur avec lequel j’étais assez prudent en début de course.

J’ai ensuite récupéré plusieurs positions. J’ai réussi à doubler Toni, puis ensuite Nicky Hayden.

Ce résultat n’est pas exceptionnel, mais il fait du bien au moral de l’équipe.

 
les blondes aussi d'ailleurs...
 
 
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création Christophe Balsera - cliquer pour télécharger le wallpaper
 
des essais mouvementés : Rossi, Okada, Capirossi... etc
 
 
 
Tech3 : une belle régularité
 

Encore une fois les Tech 3 confirment leur excellent début de saison. Si ce n'était un De Angelis en état de grace les Yam jaunes auraient pu prétendre coller aux basques des 3 leaders au classement de l'épreuve! Excellent

 
accrocheur Edwards
 
C'est finalement Colin Edwards qui s'adjugera la 5ème place aux dépends de son coéquipier James Toseland. Un très bon résultat pour l'américain en plaine période des transferts.
 
un talent qui se monnaye
 
Régulier, sympathique, sérieux Edwards fait monter les enchères dans le paddock. L'hypothétique proposition très alléchante de Kawasaki pour 2009 et ses très bons résultats lui permettant de négocier en position de force.
 
Edwards devant Rossi dans le délyge des essais
 
James Toseland continue son apprentissage au sein de la catégorie reine. Sans rien céder le jeune anglais sait se montrer appliqué dans l'apprentissage des circuits du Moto GP.
 
Hervé Poncharal : heureux... (et séducteur)
 
Colin a fait une excellente course, mais j´ai eu peur quand j´ai vu qu´il avait du mal à passer Casey Stoner et que d´autres pilotes commençaient à revenir
 
Toseland progresse et s'affirme
 
Bien que Dovizioso, fasse mieux que lui et tandis que Lorenzo marque le pas, James s'applique à aligner les bons résultats sans chercher à rouler au-dessus de ses moyens... Une régularité qui paiera très certainement en 2009!
 
James Toseland un pilote sérieux et travailleur
 
James Toseland

Ça a été une course très dure et je tiens vraiment à remercier l'équipe parce qu'ils ont trouvé les bons réglages ce matin après avoir perdu beaucoup de temps à cause de la météo et j'ai pu me placer dans le Top 6 grâce à eux.

 
le bain de foule
 

J'ai gardé mon calme car je savais que la course serait longue et je ne voulais pas faire la même erreur qu'au Mans. J'ai suivi Colin, il a fait un super boulot. Je l'ai doublé mais il a fini par trouver comment gagner quelques dixièmes de seconde par tour et a fini par repasser devant. Il a beaucoup d'expérience et sait comment gérer sa machine.

 
 
 
250 : Marco la menace...
 
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De chien fou et impétueux et imprévisible Marco Simoncelli est en train de devenir un client sérieux pour le titre de champion en GP 250. Le Mugello a encore une fois prouvé sa grande combativité (mais ça on le savait) mais aussi son opiniâtreté et sa détermination.
 
Simoncelli de plus en plus solide
 

Bautista est sans doute le pilote le plus brillant de la catégorie mais il n'est malheureusement pas le plus constant et ce GP du Mugello va encore le démontrer.

 
le hole shot pour Bautista
 

Immédiatement en tête Bautista va entraîner dans son sillage un Marco Simoncelli, "suceur de roue". Sans que ce qualificatif ne soit péjoratif avec une machine légèrement moins plus puissante.

 
Simoncelli immédiatement dans la roue de Bautista
 

Les 2 hommes vont rapidement faire le trou face à la meute des poursuivants : Pesek, Debon, Takahashi, Luthi, Pasini et Faubel. Seul un homme a pu s'intercaler il s'agit d'Hector Barbera qui manque de peu de s'envoyer au tapis en dansant la gigue sur son Aprilia.

 
une sacrée bande de poursuivants emmenés par Alex Debon
 

Derrière ça a beau s'arsouiller sévère impossible de suivre le rythme imposé par les 3 hommes... Ou plutôt par le seul leader de la course au fil des tours l'espagnol Alvaro Bautista.

 
Bautista, Simoncelli, Barbera
 

Malheureusement le plus talentueux des pilotes 250 ne tiendra pas le rythme et s'en ira à la faute à 15 tours de l'arrivée laissant le circuit grand ouvert à un Marco Simoncelli tout heureux de l'aubaine.

 
Bautista pilote inconstant
 

Simoncelli seul leader d'un GP voilà qui peut paraître incongru. Test très intéressant pour le jeune échevelé italien que de le voir gérer une tête de course tout seul en tête et sans aspi. D'autant plus que derrière Barbera cravache pour revenir.

 
Barbera est loin mais il reviendra
 

Sans personne pour l'entrainer dans son sillage la Gilera de Marco va montrer ses limites et petit à petit l'Aprilia de Barbera va grignotter les dixièmes et revenir au contact jusqu'à la dépasser irrémédiablement en ligne droite.

 
Simoncelli se fait rattraper
 

Le leadership de Simoncelli n'aura duré que 4 tours mais maintenant paradoxalement le pilote italien va se retrouver en position plus favorable collé derrière Berbera.

 
Allez hop on en prend un autre et on recommence
 

Plusieurs chutes émailleront cette dernière partie de la course : Pesek, Poggiali, Faubel et Takahashi, pas des moindres...

 
Poggiali (#54) chutera en course
 

Supérieur en vitesse de pointe Barbera se montre en revanche inférieur à Simoncelli dans les courbes. Tant est si bien que l'italien réussit à reprendre le commandement et à gagner les quelques mètres qui le mettent à l'abri du retour de l'espagnol dans la ligne droite des stands!

 
Simoncelli prêt à bondir à la moindre courbe
 

Derrière Debon fait un solide 3ème juste devant le suisse Thomas Luthi tandis que Mika Kallio, le leader du général, se tire la bourre avec son coéquipier Aoyama!

 
Alex Debon dans ses oeuvres
 
A 5 tours de l'arrivée Barbera réussit à faire de nouveau parler la puissance Aprilia et en profite pour reprendre la tête de la course... dans la ligne droite évidemment! Pendant ce temps Thomas Luthi chipe la 3ème place à Debon.
 
ça sert la puissance pour passer dans les lignes droites
 

En tête le duel Simoncelli Barbera est âpre et de toute beauté! Un coup l'un dans les virolos et un coup l'autre dans le bout droit. C'est alors que Barbera va commettre une 1ère erreur. Se retournant dans le zig l'espagnol permet à l'italien de le doubler dans le zag. Caramba!

 
l'inter qui fait mal
 
2 tours de l'arrivée. Berbera repasse en tête mais se fait faire un superbe inter à l'entrée de la ligne droite. Pas bon pour le moral! Déconcentration ou colère, toujours est-il que l'espagnol recolle immédiatement de beaucoup trop près Simoncelli.
 
Barbera ressort indemne de sa chute spectaculaire
 
Il heurte la Gilera, bloque son frein et s'en va en roulade finir sans dommage heureusement dans le muret des tribunes... Marco Simoncelli est à 2 doigts de partir au tapis sur l'incident mais réussit à tenir sur ses roues et à conclure son dernier tour en vainqueur!
 
Simoncelli, un beau vainqueur et un nouveau prétendant
 
 
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125 : Corsi reprend la main
 
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Après sa victoire au Mans c'est sur Mike Di Meglio que tous les regards se tournent. Leader du championnat du monde 125 le français est devenu l'homme à battre pour tous les autres piloteset notamment ses poursuivants immédiats au classement.

 

 
boira bien qui boira le dernier...
 

Reste que le statut de leader se confond aussi un peu avec celui de patron de la discipline. Alors Mike aurait-il les épaules assez larges pour assumer ce nouveau statut? En Italie la réponse a été largement oui... même si Mike n'a pas été payé des efforts qu'il a fourni en course avec une frustrante 4ème place.

 
un nouveau statut de (presque) patron pour Mike
 

Raconter la course de ces 125 ces intervertir les leaders tout au long des tours de ce circuit mythique du Mugello.

 
le départ des 125
 

Le groupe de tête se compose de Di Meglio, Talmacsi, Iannone (qui faiblira sur la fin), Terol, Bradl, Espargaro, Corsi et Gadea bref que du beau monde. Les pilotes sont assez chauds et les dépassements à l'image de cette belle troupe d'affamés.

 
ils sont venus ils sont tous là...
 

L'ambiance restera la même toute la course durant. Aucun pilote ne réussissant à s'imposer franchement et à s'extirper du groupe.

 
Bradl en tête... puis ce sera au tour de ... etc
 

Sans billet de sortie les uns et les autres ont tour à tour pris le commandement. Avec une mention particulière pour Mike Di Meglio qui a été le meneur le plus régulier et le plus opiniâtre.

 
souvent en tête Mike a mal été récompensé...
 

Les freinages de Mike lui ont grandement sauvé la mise, ainsi que sa vitesse de passage en courbe face à des adversaires chevauchant des montures légèrement plus puissantes que la sienne. Son mérite n'en a donc été que plus grand.

 
tous derrière Mike
 

Honnêtement sur cette course le pilotage de Mike était supérieur à celui de ses concurrents. Mais ce ne fut pas suffisant. A la manière d'un Rossi en 2007, débordé en vitesse pure par Stoner, Mike s'est un peu épuisé à lutter pour compenser cette "petite" faiblesse rédhibitoire.

 
ça se bouscule derrière Mike Di Meglio
 

On peut penser que les autres, surs de leur vitesse,  ont un peu laissé mener le français. Plantant de-ci de-là des banderilles histoire de tester le Mike. Ils en ont d'ailleurs souvent été pour leurs frais car le pilote Derbi s'est montré le plus souvent intraitable.

 
pas facile de trouver une photo où Mike n'est pas en tête...
 

Menant encore (de quelques mètres) à 3 tours de l'arrivée Mike pourtant à l'aspi de Smith s'est fait doubler dans la ligne droite à l'entame du dernier tour par Corsi, Talmacsi et Espargaro. Imparable.

 
sur la fin pourtant le français sera trop juste en puissance
 

Impossible de lutter pour le français qui n'a absolument pas pu remonter sur les 3 hommes suite à ce triple dépassement. Dommage mais la démonstration de Mike tout au long de la course parle pour lui.

 
Corsi, Talmacsi et Espargaro se disputent la 1ère place
 

Au final c'est Simone Corsi qui l'a emporté. Le rival le plus sérieux de Mike dans la perspective du général. Maintenant les 2 pilotes sont à égalité au classement. Aprilia servira-t-il Mike comme il se doit? On l'espère...

 
ça valait bien un tour d'honneur
 

Mais c'est pas gagné Mike va devoir encore s'imposer à la fois sur la piste mais également dans les esprits des boss de la discipline et notamment chez Aprilia. Son patronyme sera peut-être un atout supplémentaire, qui sait, dans la quête des dernières évolutions techniques!

 
s'il ne doit en rester qu'un que ce soit Mike Di Meglio
 
les français
Jules Cluzel est 23ème
Jules Cluzel
 
Alexis Masbou est 27ème
Alexis Masbou
 
Louis Rossi est 32ème
Louis Rossi
 
 
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texte et mise en page adrien
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