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ACCUEIL : les CONSTRUCTEURS - KAWASAKI - le 25ème anniversaire des Ninjas
 
 
Kawasaki : 25 ans de Ninjas
 
le fabuleux destin des Ninjas
 

Voilà un quart de siècle que les Ninja, sous les déclinaisons les plus variées enchantent plusieurs générations de motards. Cela valait bien un anniversaire fêté en bonne et due forme.

Pour l'occasion Kawasaki a livré quelques une de ses archives d'époques telles que les coupures de journaux saluant la sortie de la Reine Mère de cette dysnastie à savoir la GP z 900 R.

Le tout agrémenté de plusieurs vidéos dont le reportage original de la présentation à la presse de ce modèle fondateur le 17 décembre 1983 à Monterey en Californie!

 
 
A travers les photos les plus anciennes c'est tout un pan de l'histoire Kawasaki qui va défiler devant nous. Avec tout d'abord la série des GP z de 1984 à 1986 puis la Tomcat, la Stinger, les ZZR 1100 pour enfin s'achever avec la dynastie des ZX, 7, 9, 10 et 12 R sans oublier les petites ER-6f et 250 R.
 
 
 
1984 : la GP z 900 R
 
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La GPz900R se dévoile à Monterey, en Californie, à l'occasion d'une présentation de Presse et d'une séance d'essais sur route. La première "Ninja" est commercialisée l'année suivante.

 
la présentation à la presse le 17 décembre 1983 à Monterey
 
la Ninja est sacrée "Moto de l'Année"
 

Lorsque débarque la GP z 900 R, c'est un choc dans le monde de la moto.

 
 
Ce nouveau modèle est équipé du premier moteur Kawasaki 4 cylindres à refroidissement liquide, double ACT et 16 soupapes (d'une puissance maxi de 115 ch) et d'un châssis léger et compact.
 
 

Avec une vitesse de pointe supérieure à 250 km/h et 10,552 s au 400 m/da, elle réécrit les pages du livre des records moto et s'y inscrit comme la machine la plus rapide du monde.

 
 

Au début de sa commercialisation en 1984, elle est sacrée "Moto de l'Année" par les magazines, partout dans le monde.

 
 

L'entraînement latéral d'ACT, le cadre "diamant", le carénage intégral très particulier, entre autres caractéristiques, la démarquent des modèles concurrents et lui valent un
accueil enthousiaste.

 
le moteur de la GPz 900 R
 
 
 
1985 : GP z 600 R
 
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Le succès des GPZ va se décliner dans toutes les cylindrées. Ainsi a GPz750R est lancée sur le marché japonais la même année que la GP z 900 R.

Et en 1985 les GP z 1000 RX, GP z 600 R, GP z 450 R, GP z 250 R et la FX 400 R sans carénage complètent la gamme des supersportives.

 
la GP z 600 R
 

Avec ses roues de 16 pouces à l'avant et à l'arrière la GP z 600 R se présente comme une moto compacte et aérodynamique.

A la différence de la 900 elle possède un cadre classique double berceau composé cependant de tubes d'acier à section rectangulaire.

 
la GP z 400 R
 
Pour démonter le moteur il faut dévisser les renforts du cadre. Le bras oscillant en alliage léger est équipé de tendeurs de chaîne simples. A l'instar de la GP z 900 R, la 600 est dotée de linguets dédoublés pour actionner les soupapes.
 
la GP z 750 R
 
1986 : GP z 1000 RX
 
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Forte du succès des modèles précédents la Direction de Kawasaki met la pression sur ses ingénieurs pour sortir un modèle encore plus puissant que la révolutionnaire GP z 900 R.

C'est ainqi qu'apparait la GP z 1000 RX censée remplacer la 900...

 
 

Avec ses 1000cm3 la nouvelle machine a de quoi séduire. A 9500 tr/min en version "libre", il développe 125 chevaux et atteint la barre symbolique des 250 km/h.

En revanche en 100 cv la démultiplication secondaire longue, non modifiée, lui pose quelques problèmes.

 
 
Pour l'architecture de son cadre, Kawasaki repasse du tube central au double berceau en tubes d'acier avec une partie arrière en alliage léger.
 
 
 
 
1988 : ZX-10 Tomcat
 
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Contrairement à ce qu'on pourrait penser ce n'est pas une Tom Cat que Tom... Cruise pilote dans le film Top Gun mais bien une GP z 900 R.

 
 
Le surnom Tomcat de la ZX-10 provient de l'avion de chasse F-14 Tomcat révélé par Top Gun le film de Tony Scott sorti en 1986 soit 2 ans avant la ZX-10 Tomcat!
 
Tom Cruise sur la GP z 900 R
 

Cette Tomcat n'utilise pas un cadre double berceau en tubes d'acier comme les GPX 600 ou 750 R.

En effet la ZX-10 (1000 cm3) est dotée d'un cadre extrêmement rigide en aluminium, à poutre "E-box", hérité des Kawasaki d'usine.

 
 
Sa légèreté (225 kg) lui autorise une vitesse maxi de 270 km/h, qui conforte la position de Kawasaki en tête des
motos les plus rapides du monde.
 
 

Sa rigidité est renforcée par 2 renforts dévissables pour démonter le moteur.

Pour la 1ère fois chez Kawasaki les disques de freins sont flottants et les étriers flottants aussi à double piston adjacent et de diamètre différencié.

 
 
Des carburateurs à boisseaux plats et des tubulures d'admission droites contribuent à la puissance maximale de 137 chevaux de ce gros cube en version libre.
 
 
 
 
1989 : ZXR 750H "Stinger"
 
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A partir de son lancement en 1989 la ZXR compte parmi les meilleurs sportives du marché.

En 1990 elle gagne 4 kilos sur sa partie cycle. En 1991 la version J inaugure un nouveau moteur à distribution latérale., un nouveau cadre ainsi qu'une fourche inversée.

 
la ZX7
On commence à doubler les R chez Kawasaki en 1991 avec la version R qui va concourir dans le championnat Superbike et remporter le WSBK en 1993 pilotée par Scott Russel!
 
la ZXR 750
 
 
 
1990 : ZZ-R 1100
 
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Dérivé du moteur de la ZX-10, le quatre cylindre de la ZZ-R 1100 se démarque par sa cylindrée plus importante.
 
la ZZ-R 1100
 

Nouveauté sur le marché : le système Ram Air.

La ZZR bénéficie d'une boite à air plus volumineuse (16.9 litgres au lieu de 14.1l) d'un radiateur d'huile plus grand et de pistons, dont la jupe allongée de 4mm assure une marche plus tranquille.

 
la ZZ-R 1100
 

Dès sa sortie, la ZZ-R1100 affiche le chiffre incroyable de 147ch.

Et elle doit ce gain de puissance justement à ce tout nouveau système "Ram Air".

Un conduit placé à l'avant du carénage dirige l'air directement vers le filtre à air.

 
la ZZ-R 1100
 

Le "monstre" est également doté du premier compteur de vitesse gradué jusqu'à 320 km/h.

Durant six ans, elle va porter le titre incontesté de "Reine
de Vitesse".

Ce modèle est le premier d'une lignée prestigieuse.

 
la ZZ-R 1100
 
En 1985 elle reçoit de nouveaux gicleurs, un boitier d'allumage et un pot d'échappement plus silencieux. A partir de 1996 la moto sera livrée avec 98 chevaux à 9300 tr/min en série et équipée d'un système d'air secondaire.
 
la ZX 11
 
 
 
1994 : ZX-9R
 
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Après la 900 Z 1 de 1973 et la GPZ 900 R de 1984 Kawasaki comùmercialise à partir de 1994 une troisième 900 de top niveau.

L'alésage du 4 cylindres de la Ninja ZX-9 R, dérivé du moteur de la ZXR 750 est augmenté de 2mm et sa course de 6mm avec au final 899 cm3 et 139cv.

 
 
Son système Ram Air lui permet d'augmenter la puissanceen mettant à profit la pression aérodynamique. En version libre la 9 R atteint les 270 km/h le tout freiné par des étriers à 6 pistons.
 
 
 
 
1996 : ZX-7 R
 
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Au bout de 7 ans Kawasaki décide de remplacer la ZXR. C'est la naissance d'une ZX-7 R complètement revue. Avec 73mm d'alésage et seulement 44.7mm de course le moulin est plus à l'aise à haut régime et plus stable sous charge.

Le nouveau système d'admission directe d'air est dédoublé et répond au doux nom de Double Ram Air System.

 
 
 
 
1998 : ZX-9 R
 
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En 1998 Kawasaki présente une Ninja XZ-9 R entièrement repensée.

Cure d'amaigrissement au programme puisque ce ne sont pas moins de 34kg qui passent à la trappe dans cet évolution avec un poids final de 209kg contre 243 à l'origine.

 
 

Du même coup sa puissance passe de 139 à 143 cv. Son moteur présente un rapport alésage/course de 75mm à 50.9mm (ancien modèle 73mm à 53.7mm).

Le débrayage sera revue dès 1998. En 1999 le cadre sera renforcé dans la zone du Té de direction et la fourche téléescopique sera retravaillée.

 
 
 
 
2000 : ZX-12 R
 
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Moto phare du nouveau millénaire c'est ainsi que Kawasaki présente sa ZX-12 R.


Modèle emblématique de la gamme des supersportives "Ninja", elle entend bien succéder à la Reine de Vitesse qu'aura longtemps été la ZZ-R1100.

 
 
Entre autres caractéristiques notables, la Ninja ZX-12R est équipée du tout premier cadre monocoque de série en aluminium.
 
 
Le moteur est un 4 cylindres en ligne à refroidissement liquide très sophistiqué, à double ACT et 16 soupapes, développant une puissance maximale de 178 ch entouré d'un châssis à l'aérodynamique particulièrement soignée.
 
 
 
 
2003 : ZX-6R
 
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En 2003 Kawasaki lance les Ninja ZX-6R (636 cm3) et Ninja
ZX-6RR (600 cm3).

Conçues pour être les machines les plus rapides de leur catégorie, ces 600cc revues de fond en comble bénéficient de
nombreux équipements ordinairement réservés aux seules machines de compétition.

 
 
La ZX-6R a encore perdu quelques kilos : 9 au total. La moto s'allège pour passer de 172 à 161kg). Plus compacte elle impose aussi à son pilote d'adoptéer une position franchement sportive particulièremenht basculée sur l'avant.
 
 
Avec un train avant sur et précis la 636 s'affiche comme une sportive d'accès plus facile que ce que ses spécifications pouvaient laisser pressentir au 1er abord.
 
 
 
 
2004 : ZX-10R
 
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La ZX-10R remplace la 9R. Avec 170 kg pour 184 cv pas besoin de faire un dessin. On passe dans un autre monde. Les carters au magnésium et les pistons forgés en alliage léger allègent un moteur qui pousse très très fort!

 
 

Boite 6 resserrée pour faciliter les enchainements. L'air d'admission est forcé via le conduit central du Ram Air jusqu'à la boîte à air au travers des poutres du cadre.

Le volet papillon situé dans le collecteur en titane du système d'échappement assure une production linéaire et homogène de la puissance à tous les régimes.

 
 

La face avant du carénage, très compacte, intègre une admission d'air forcé en position centrale et sa surface frontale est inférieure à celle de la ZX-6R.

 
 

Le cadre tout alu combine parties moulées et pressées. L'épaisseur des parois des montants principaux est au maximum de 2,5 mm afin de combiner poids minimum et rigidité maximum.

L'utilisation de nombreuses parties moulées se traduit par une limitation du nombre total d'éléments et par moins de soudures.

 
 
Les poutres du cadre recouvrent le moteur au plus près pour donner une largeur équivalente à celle des machines de la catégorie 600.
 
 
 
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1984 : GP z 900 R
 
1985 : GP z 600 R
 
1986 : GP z 1000 RX
 
1988 : ZX-10
 
1989 : ZXR 750
 
1990 : ZZ-R 1100
 
1994 : ZX-9R
 
1996 : ZX-7R
 
1998 : ZX-9R
 
2000 : ZX-12R
 
2003 : ZX-6R
 
2004 : ZX-10R
 
2005 : ZX-6R
 
2006 : 1400 ZZR
 
2006 : ZX 10R
 
2006 : ER-6f
 
2007 : ZX-6R
 
2008 : ZX-10R
 
2008 : 250R
 
2009 : ZX-6R
 
2009 : ER-6f
 
 
 
PHOTOS : 25 ans de Ninja
 
 
 
 
vidéos
 
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les vidéos
1. 25 ans de Ninjas
2. la prsentation de la GP z 900 R en dcembre 1983 Monterey
3. la GP z 900 R
4. la GP z 900 R dans le film Top Gun avec Tom Cruise
5. la ZX-6R à Autopolis
 
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2005 : ZX-6R
 
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En 1985, le GPZ600R a été la première machine de moyenne cylindrée à offrir un niveau de performances en termes de moteur, de châssis et d'aérodynamisme à même de rivaliser avec les modèles de plus forte cylindrée.

Dès lors, les Kawasaki Supersport 600 cm3 se sont toujours distingués par une technologie qui restait habituellement dans ces trois domaines l'apanage des grosses cylindrées.

 
 

Le Ninja ZX-6R version 2005 s'inscrit dans le droit fil de cette tradition.

S'il constituait déjà le Supersport de moyenne cylindrée le plus performant du marché, le nouveau modèle bénéficie d'une foule de modifications apportées au moteur, au châssis et à l'habillage qui le démarquent encore plus nettement de la concurrence et le rendent plus efficace encore, sur circuit comme sur les routes sinueuses.

 
 

Le moteur se voit doté d'une nouvelle culasse, d'un nouveau bloc-cylindre et de papillons secondaires de forme ovale alimentés par deux injecteurs qui améliorent l'admission.

Les soupapes d'admission et d'échappement de plus gros diamètre, actionnées par des cames au profil retouché, participent également à l'augmentation globale des performances, tandis qu'une valve d'échappement intégrée au silencieux améliore la réponse moteur à bas et mi-régime.

 
 

Le châssis se distingue par son nouveau cadre en aluminium, un bras oscillant renforcé et ultra-sophistiqué, une nouvelle fourche, des caractéristiques de suspension arrière améliorées et de nouvelles roues de type 10R.

Le nouveau gabarit du châssis raccourcit l'empattement et décale vers l'avant l'axe de pivot du bras oscillant, ceci afin d'améliorer la vivacité d'entrée en virage.

 
 
Le potentiel du 6R sur circuit se voit encore confirmé par certaines particularités directement issues de la compétition, comme le maître-cylindre de frein à attaque directe, les étriers à montage radial, les disques de frein avant en pétales et un limiteur de couple de transmission, développé à partir de l'expérience acquise sur la Kawasaki de MotoGP.
 
 
 
 
2006 : ZZR 1400
 
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La ZZR 1400 est une machine qui offre des performances et des sensations d'un niveau encore inconnu à ce jour.

Qu’il s’agisse d’accélérer comme un avion au décollage, d’avaler sans effort une petite route de montagne, de dévorer les kilomètres pour aller déjeuner de l’autre côté de la frontière ou de se faufiler prestement en ville sur le trajet quotidien, le ZZR1400 “dépose” littéralement toutes les autres grosses cylindrées avides de bitume.

 
 

Propulsé par un tout nouveau moteur à alimentation forcée par Ram Air et injection d’essence –le plus puissant jamais construit par Kawasaki–, le ZZR1400 développe une poussée inédite jusque-là.

Chaque sollicitation du poignet injecte directement une dose d’adrénaline dans le cortex cérébral du pilote !

 
 
La partie-cycle n’est pas en reste, avec une évolution du cadre monocoque en aluminium –exclusivité Kawasaki– dont la légèreté et la rigidité confèrent à la machine une vivacité et une stabilité incroyable sur la route à haute vitesse.
 
 

L’aérodynamisme du ZZR est bien conforme à ce que l’on est en droit d’attendre d’un constructeur aéronautique aussi pointu que Kawasaki.

Les lignes élégantes de la machine, que l'on croirait sculptées par le vent, visent à tirer le meilleur parti d’une conduite sportive.

 
 

Le ZZR1400 est une supersportive idéalement équilibrée, taillée à l’aune des modèles d’exception que sont le Z1 et le ZZ-R1100.

Moitié Ninja, moitié légende, mais toute entière faite de passion, le nouveau ZZR1400 va faire pâlir les autres prétendants au titre envié d’Hyperbike.

 
 
2006 : ZX-10R
 
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Le 10R s’offre pour 2006 une refonte complète au niveau du moteur, du châssis et de l’aérodynamisme.

Pas de doute, le "grand méchant" Ninja va continuer à régner en maître sur la piste comme sur la route !

 
 

Les ingénieurs ont encore gagné plus de chevaux sur le nouveau 10R !

Et ce grace à l’apport d’une foule d’évolutions visant à réduire les pertes par friction et à obtenir une meilleure combustion des gaz.

Ils ont obtenu une puissance accrue –plus homogène et plus progressive– à tous les régimes tout en conservant le rendement déjà impressionnant du modèle 2005.

 
 

Les performances en virage passent également au cran supérieur, de même que la motricité.

La partie-cycle bénéficie d’un nouveau cadre à la géométrie redessinée, d’une meilleure centralisation des masses, d’un nouveau positionnement de l’axe du bras oscillant, d’une rigidité mieux répartie, de nouveaux tarages de suspension et d’une multitude d’autres améliorations que la plupart des pilotes remarqueront à peine…, du moins tant qu’ils n’auront pas jeté un œil à leurs chronos !

 
 

Le nouveau Ninja ZX-10R est équipé de série d’un amortisseur de direction de type compétition.

Le 10R reçoit donc un habillage à l’aérodynamisme entièrement recalculé, qui lui permet de fendre l’air comme un avion au décollage…

Même de loin, aucun risque de se méprendre sur la nature de cette fusée à 2 roues : c’est bien une Kawasaki !

 
 
 
 
2006 : ER 6f
 
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Sortie des cartons du bureau de design intégré de l’usine d’Akashi, au Japon, l’ER-6f représente pour Kawasaki un bon en avant.

Avec son moteur et son châssis innovants, elle introduit un genre nouveau dans le monde de la moto : une machine d’entrée de gamme assortie du style, de la qualité de construction et des performances de modèles beaucoup plus onéreux.

 
 

Propulsée par un bicylindre compact enchâssé dans un châssis étroit et léger, l’ER-6f est aussi maniable que conviviale.

Ce bloc moteur de 649 cm3 à refroidissement liquide est le modèle le plus compact de sa classe. L’injection électronique garantit une arrivée sans faille des chevaux à tous les régimes.

 
 

La compacité du moteur autorise l'emploi d'un cadre d’une grande finesse, quasiment minimaliste, particulièrement étroit au niveau des genoux et des pieds.

Cette compacité autorise en outre un empattement remarquablement court, gage d’agilité et de maniabilité.

 
 
La possibilité d’utiliser un bras oscillant de longueur conséquente favorise le bon travail de la suspension arrière, et donc la tenue de route de la machine.
 
 

Construit en acier haute résistance, le cadre rivalise de légèreté avec les modèles en aluminium.

La configuration de la suspension arrière à mono-amortisseur déporté permet de positionner la batterie à côté de l’amortisseur, et non plus en dessous.

Cette disposition favorable permet d’abaisser la selle et d’affiner les lignes.

 
 
2007 : ZX-6R
 
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Exit la 636 et retour à une 600 pure et dure. Niveau look le modèle 2007 ne révolutionne pas la ligne de la précédente.

Son museau est légèrement plus court avec en son milieu un entrée d'air conséquente pour le Ram Air.

 
 

La position de conduite demeure ferme et la selle dure. Ce n'est pas une photo faite pour se reposer!

Le travail sur le cadre a consisté à augmenter la rigidité pour la mettre au service de la vivacité. Passages en courbe à haute vitesse et enchainements rapides sont les points forts de ce nouveau modèle.

 
 
Le moteur a été revu de fond en comble pour la 1ère fois depuis 10 ans. La liste est impressionnante : carter plus rigides, pistons à jupe très courte, embrayage avec anti dribbling, nouveaux injecteurs à pulvérisation ultra fine... etc
 
 
2008 : ZX-10R
 
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Pour doter le moteur et le châssis du Ninja ZX-10R 2008 des hautes performances attendues par les pilotes pros, les ingénieurs ont commencé par créer une superbike de compétition idéale, puis l’ont transformée en machine de route de haut niveau, pouvant aussi être appréciée par les pilotes de niveau intermédiaire.

 
 

La boucle arrière du cadre, le réservoir et la selle ont été redessinés pour offrir au pilote un contact plus étroit avec la machine.

Le raccourcissement de la selle permet au pilote de mieux se caler contre le dosseret, un contact qui participe à l’excellente perception du châssis.

L’avant de la selle est quant à lui plus étroit, ce qui resserre la position de conduite et rapproche le corps du sol..

 
 

Pour optimiser les performances du 10R sur piste, les réglages du moteur ont été affinés afin d’obtenir un surcroît de puissance à haut régime, sans altérer son couple impressionnant à bas et mi-régimes.

En outre, la réponse des gaz a été améliorée par l’installation d’injecteurs secondaires, l’utilisation de corps d’injection ovales et la forme nouvelle des conduits d’admission.

Ces transformations confèrent au nouveau moteur un potentiel très proche de celui des Superbikes d’usine Kawasaki,

 
 

Le Ninja ZX-10R dispose d’un système sophistiqué de gestion de l’allumage qui atténue les pics de régime brutaux.

Le système prend d’abord en compte le régime moteur : une variation soudaine est interprétée comme un dérapage de la roue arrière, et le calage de l’allumage est alors ralenti afin que la motricité redevienne optimale au niveau du bitume.

 
 
 
 
2008 : 250R
 
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Doté d’un moteur au tempérament parfaitement exploitable, d’un châssis compact et très maniable et d’un carénage intégral supersport digne de son patronyme, ce modèle se propose d’offrir aux conducteurs de tous niveaux les performances d’une sportive de route.

 
 

Le moteur de la Ninja 250R se veut avant tout convivial : les réglages visent donc à procurer une puissance linéaire et sans à-coups, privilégiant les bas et les mi-régimes.

Tout comme le Ninja ZX-6R, la Ninja 250R dispose d’un double papillon qui assure une remarquable vivacité du moteur à tous les régimes, une commande des gaz douce et linéaire ainsi qu’une réelle sobriété.

Le diamètre des corps d’injection est de 28 mm.

 
 

Les poutres du cadre “Diamant” sont en acier à paroi épaisse, à la fois robuste et résistant.

Le support surdimensionné du bras oscillant contribue à rigidifier le cadre et à équilibrer au mieux la rigidité du châssis.

La section rectangulaire des bras (de 60 x 30 mm), très esthétique, participe à la rigidité de l’ensemble.

 
 
2009 : ZX-6R
 
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Évolution du Ninja ZX-6R 2007, le modèle 2009 élève d'un cran les performances sportives de son aîné.

L'interaction pilote/machine a été peaufinée afin d'offrir un contrôle encore plus précis.

Ainsi, les améliorations apportées au moteur et à la partie-cycle rendent la machine encore plus maîtrisable et rassurante,

 
 

Évolution du Ninja ZX-6R 2007, le modèle 2009 élève d'un cran les performances sportives de son aîné.

L'interaction pilote/machine a été peaufinée afin d'offrir un contrôle encore plus précis.

Ainsi, les améliorations apportées au moteur et à la partie-cycle rendent la machine encore plus maîtrisable et rassurante,

 
 

Côté moteur, les évolutions ont autant porté sur la maîtrise que sur le gain de performances.

La réponse extrêmement progressive des gaz assure un contrôle précis à tous les régimes.

De plus, le renforcement du couple à moyen régime permet de sortir nettement plus fort des virages.

Grâce à la meilleure réponse à mi-régime et au feeling très direct de la poignée qui facilite le dosage des gaz en milieu de virage, les pilotes conservent plus facilement le rythme lorsqu'ils enchaînent les virages en enfilade.

 
 
 
 
2009 : ER-6f
 
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Le changement le plus flagrant porte sur l’allure résolument plus sportive de l’ER-6f.

Avec son style plus incisif, plus agressif, difficile de ne pas
songer aux dernières Supersport…

Le cadre treillis et l’amortisseur arrière déporté subsistent, mais le cadre a été complètement redessiné et sa finition très soignée rehausse encore l’impression de qualité.

 
 
 

La répartition de rigidité du cadre et les réglages des suspensions ont été revus afin d’améliorer la maniabilité,
tandis que l’ajout de silent blocks diminue les vibrations.

Ainsi, l’ER-6f version 2009 rehausse encore le confort et la convivialité du modèle précédent.

 
 

Le bicylindre de 649 cm3 à refroidissement liquide reçoit également quelques ajustements : s’il conserve son couple remarquable, ses montées en régime plus rapides le rendent plus joueur.

 
 

De plus, sa réponse plus linéaire – en particulier à bas régimes – n’a rien d’intimidant et offre un degré de maîtrise très appréciable en conduite sportive.

 
 
 
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