SUPERSPORT – Australie, les essais libres, le debrief de Mike Di Meglio et de Christophe Guyot (photos HD)

La météo fut extrêmement capricieuse aujourd’hui à Phillip Island. Les averses, qui ont duré toute la journée, ont compliqué la tâche de l’ensemble des pilotes à définir un type de pneus. Mike Di Meglio est parti dès la première séance en pneus secs. Cependant, un soucis technique l’a obligé à s’arrêter au box pendant une majeure partie de la séance. Le nombre de tours restant était limité et l’équipe a donc décidé de travailler en pneus usés. 18e place pour l’équipe GMT94.
si vous désirez obtenir une photo de cet article en HD écrivez-nous
 

 
10 minutes avant la seconde séance, une forte averse a couvert le circuit, obligeant l’ensemble du plateau à partir en gommes pluie.

En lutte pour la première place durant toute la période durant laquelle la piste était humide, Mike s’arrêtait avec le meilleur temps à mi séance.

La piste séchant très rapidement, les sept dernières minutes ont permis de repartir sur une piste sèche.

Trop court cependant pour améliorer la position du matin. La Yamaha 94 devra passer en Superpôle 1.

La météo s’annonce pluvieuse pour samedi, ce qui nous encourage à continuer notre travail intense pour décrocher l’une des deux places qualificatives pour la Superpôle 2, et ainsi nous battre pour partir sur l’une des quatre premières lignes.
 
Christophe Guyot
 
 
Christophe Guyot
« Nous espérions mieux pour débuter mais c’est la course.

Le plus ennuyeux n’est pas cette panne de shifter qui s’est invitée au plus mauvais moment.

Tout est réglé de ce côté là et nous espérons pouvoir nous racheter demain lors de la superpole.

Nous sommes partis avec une configuration moteur prudente et certainement trop sage puisque nous sommes crédités d’une médiocre vitesse de pointe.

Nous devrons progresser sur ce point dès notre retour en Europe. »
 

 
 
Mike di Meglio
La moto était géniale à piloter sous la pluie. Je me suis régalé. En revanche, je me rends compte que le moteur manque d’allonge par rapport aux autres Yamaha R6.

Nous prenons la mesure de notre challenge et nous savons maintenant ou nous devrons progresser.

Vivement demain. S’il pleut, je me sens capable de faire de belles choses.

Et s’il ne pleut pas, je donnerai tout pour remonter sur la grille de départ ! »