ENDURANCE 2019 – Allemagne, Oschersleben, le compte rendu de vendredi après midi, la pole provisoire pour Kawasaki SRC

L’après-midi commence plutôt mal avec une chute collective dès le 2ème tour des essais qualificatifs pilotes brassards bleus.
(les résultats)
 
SERT
 
Le SERT, le No Limits Motors Team, l’Exteria KSPCS Racing Team by Eko et le BMRT 3D Maccio Racing se retrouvent ainsi au tapis avec du travail pour remettre les motos en état.
 
No Limits Motor Team
 
Après 45 minutes d’interruption environ pour nettoyer la piste, les essais reprennent et tous les teams sont en piste.

Les essais se poursuivent de meilleure manière avec les brassards jaunes et rouges même s’il y a encore quelques chutes.
 
Team SRC Kawasaki
 
Au cumul des temps des 3 pilotes, c’est le team SRC Kawasaki France qui décroche la pole provisoire en 1.26.548, devant le SERT (1.26.693) et le WEPOL Racing (1.26.873).

Les sept premiers EWC sont dans la même seconde.

La chasse aux points bonus risque d’être rude demain matin.
 
GERT 56
 
A la 9ème place, se classe le premier SST, GERT 56 by GS Yuasa (1.27.734) devant le team 33 Coyote Louit Moto (1.28.148) et le No Limits Motors Team (1.28.352).
 
Moto Ain
 
Les 3 prétendants au titre, exæquos au classement général à 10 points derrière le GERT56 by GS Yuasa, sont respectivement Moto Ain (1.28.763), Junior Team LMS Suzuki (1.28.763) et BMRT 3D Maccio Racing (1.29.080).
 
Junior Team LMS Suzuki
 
Avec toujours le même retard sur le programme, les motos de l’Europe Endurance Classic font leur entrée en piste pour une course de 4 heures.
 
BMRT 3D Maccio Racing
 
C’est le ballet d’installation des tentes devant les stands pour leur course.

Après une mise en épi et un tour de chauffe, c’est le vrai départ type Le Mans.

Certaines sont un peu capricieuses mais toutes finissent par partir.

Mais comme pour les brassards bleus, et dans le même virage, une chute collective impacte 5 motos dès le début de course.
 
Team33 Coyote
 
C’est l’entrée en piste du safety-car pour 25 minutes environ.

Compte-tenu des différences entre les machines encore en course et l’absence d’information sur l’écran géant spectateur, la course n’est pas très palpitante.

Mais ces machines, gloires des années 70 – 80 ont le mérite de continuer à rouler et à entretenir un brin de nostalgie.

Parmi les activités annexes, quelques pilotes de mini-voitures radio guidées s’entrainent sur le circuit installé au fond du paddock et les musiciens des concerts du festival rock et métal qui débute ce soir commence à répéter.
 
Wepol Racing
 

Les résultats officiels


Texte Véronique Sauvage